Peut-on se sentir légitime quand on ne connaît qu’un fragment de ses origines ?
par Leïla Feghoul ⋅ 10/05/2025 3 min
Quand une culture ne nous a pas été transmise dans sa totalité, quand une langue a été tue, quand les liens avec une terre ou une famille sont restés distants, flous ou absents, qu’est-ce que cela change à la façon dont on se construit ? Est-ce qu’on apprend, à notre manière, à transformer ce manque en mouvement, en geste, en sens ?